Pourquoi consulter une psychologue psychothérapeute ?

Quelques motifs de consultation...

L’anxiété.

Les phobies.

Les ruminations.

L’incapacité à se concentrer.

Les problèmes d’apprentissage.

Les crises de panique.

Les douleurs d’assignation et de discrimination.

Le deuil.

La crise d’ado.

Les difficultés relationnelles.

La dépendance.

Les relations fusionnelles.

L’impression d’inutilité.

Les blessures d’abandon.

La crainte de l’effondrement.

L’angoisse.

Le surmenage.

Les questions identitaires.

La tristesse.

Le manque de motivation.

Les idées noires.

La colère.

La dépression.

Les traumatismes.

Les abus sexuels.

Le burnout.

La maladie.

Les blocages.

Le manque d’estime de soi.

Le narcissisme blessé.

Les sautes d’humeur.

La timidité maladive.

La peur.

Les difficultés dans la parentalité.

L’expression des émotions.

Les tensions familiales.

La crise du milieu de vie.

Consultez si vous vous sentez prêt·e à :

Une femme avec un bandeau en tissu au visage, assise dans un endroit sombre et calme, se tenant le visage avec ses mains, ayant une expression pensive ou concentrée. Cliché utilisé comme illustration de site de psychologie et psychothérapie.

Reconnaître votre souffrance

Pour consulter, il faut d’abord accepter une évidence : on souffre, et cette souffrance a pris trop de place. Puis il faut trouver le courage de demander de l’aide.
Cela peut sembler simple, mais c’est souvent le pas le plus difficile. Car venir rencontrer un psychologue, c’est accepter de parler de ce qui nous blesse, d’exposer ses vulnérabilités à un inconnu, de supporter le regard extérieur sur ce que nous vivons de plus intime.
C’est aussi se donner la possibilité de partager ce poids et de ne plus rester seul·e face à lui.

Un homme aux cheveux foncés et à la barbe, portant un t-shirt bordeaux, regarde vers la gauche, en extérieur dans un parc, lors d'une journée ensoleillée. Cliché utilisé comme illustration de site de psychologie et psychothérapie.

Explorer votre part de responsabilité

Certaines souffrances s’imposent à nous : accident, maladie, deuil, contexte familial difficile… Nous n’avons pas choisi ces épreuves. Mais ce que nous pouvons interroger, c’est la manière dont nous y réagissons.
Une part importante du travail psychologique consiste à se demander : quel rôle jouons-nous dans notre propre douleur ? Comment la nourrissons-nous, parfois sans le vouloir ? Quelle fonction occupe-t-elle dans notre vie, et comment pourrions-nous l’apprivoiser autrement ?
Il ne s’agit pas de se blâmer, mais de reprendre du pouvoir.

Portrait d'une femme âgée souriante avec des cheveux gris clairs, portant une veste à carreaux, à l'extérieur dans un environnement urbain. Cliché utilisé comme illustration de site de psychologie et psychothérapie.

Examiner vos croyances et leur rôle

Nous vivons entourés de nos croyances : sur nous-même, nos capacités, nos forces et nos limites. Sur ce que nous pensons “aller de soi” et ce que nous attendons des autres. Elles façonnent notre regard sur le monde sans que nous en soyons toujours conscients.
Consulter, c’est aussi accepter d’interroger ces certitudes : nous aident-elles à avancer ou nous enferment-elles ? Sur quoi reposent-elles ? Et que deviendraient-elles si nous les regardions autrement ? Se poser ces questions ouvre un espace de liberté intérieure.

Questions fréquentes sur les consultations

  • Prenez rendez-vous. Ce premier pas indispensable reste souvent compliqué à franchir. Pourtant, contacter un psy, c’est d’ores et déjà aller vers le changement en posant un geste fort et audacieux.

    Bienvenue donc sur ce site !

    Je peux vous recevoir, en présentiel ou en visio, pour un rendez-vous unique ou un suivi thérapeutique. Il ne vous reste plus qu’à m’appeler au 06 77 53 49 05 pour prendre un rendez-vous en ligne ou au cabinet !

    Je suis établie dans la ville de Sète, à quelques minutes à pied de la gare, dans le quartier du théâtre.

    Si pour une raison ou pour une autre (éloignement, horaires, timidité) vous préférez le distanciel, nous pouvons aussi nous donner rendez-vous en ligne, pour une visio ou une consultation par téléphone.

  • 60 euros pour une session qui dure 45 minutes.

    Si vous avez une mutuelle, contactez-la car certaines d’entre elles prennent en charge quelques consultations chaque année. Si vous traversez des difficultés financières, parlez m’en, je garde toujours quelques places à prix réduit pour ceux qui en auraient besoin.

  • D’abord, nous nous rencontrons et vous me dites ce qui vous amène.

    Si c’est une consultation ponctuelle, nous faisons le tour de ce qui vous préoccupe.

    Si vous souhaitez entamer une thérapie, prenez au moins trois séances pour vous décider et que j’ai l’opportunité de voir si je pense que ce type de démarche est adapté pour vous.

    En prenant un moment pour soi afin de penser sans tabou à ce qui se produit ou s’est produit dans notre vie, ce que nous craignons pour l’avenir, on s’offre une possibilité de changement. C’est cela, entre autres choses, qui se passe en consultation.

  • Souvent, lorsqu’on s’adresse « à un psy », c’est que ça ne va pas bien, qu’un malaise s’est installé. On cherche à démêler ses pensées, à mieux saisir ses comportements ou ceux des autres, à changer un schéma qui heurte et ne convient plus.

    Parfois même, ce sont les autres qui nous poussent à « aller voir quelqu’un » !

    Un conseil qu’on ne sait pas forcément prendre avec le sourire, tant il reste difficile de s’entendre dire ce genre de choses ! Bref, lorsqu’on appelle, c’est généralement qu’on ne sait plus quoi faire et c’est souvent avec appréhension que l’on fait ce premier pas. Pourtant, il n’y a pas d’inquiétude à avoir.

    Tout d’abord, vous pouvez commencer par une consultation unique, pour vous faire une idée.

    D’autre part, je n’ignore rien de la crainte qui peut saisir quelqu’un à l’idée de prendre rendez-vous, je suis passée par là (tout bon psychologue suit ou a suivi une thérapie). Je ferai donc de mon mieux pour vous mettre à l’aise et vous accueillir avec la délicatesse qui s’impose.

  • Cela dépend surtout de vous car c’est votre demande que je vais écouter. Si bien que de votre côté, il n’est nul besoin d’avoir la volonté de s’engager sur le long ou moyen terme pour me contacter. De mon côté, ce n’est qu’au bout de trois séances que je pourrais vous dire si je pense qu’une thérapie en tant que telle pourrait vous être utile.

    Consultation ponctuelle : vous pouvez me solliciter même si c’est « juste » parce que quelque chose vous pèse et que vous voulez entendre les interrogations d’un « autre », qui ne sait rien de votre histoire et la verra forcément d’un œil extérieur. Même si c’est juste une fois. Une consultation ponctuelle peut apporter beaucoup. Faire baisser l’angoisse, la remettre à sa place, calmer les anxiétés, dévider un mal-être, confier une préoccupation… pour finalement être plus à même d’y faire face.

    Thérapie : c’est une décision qui ne se prend pas tout de suite et pas à la légère. Trois entretiens préalables sont nécessaires. Ils consistent à préciser votre demande, mais aussi à voir si je pense que je peux vous aider sur un terme plus long et si vous pensez que je peux vous convenir. La thérapie qui pourrait en découler consiste alors à résolument tirer sur les fils de votre vie, pour en remonter le cours, voir comment vous imaginez la suite, mais aussi pour saisir comment vos lignes de failles, de conduite, de force, de crêtes et de défense, sont construites. Il s’agit, en définitive, de vous aider à faire bouger les lignes d’une vie qui vous interroge et ne vous satisfait pas ou plus. Sur ce chemin, je peux être votre compagne de route, attentive, concentrée, cherchant avec vous à avancer vers ce qui vous ferait du bien.